Entente de principe entre la ville de terrebonne et la fraternite des policiers

Le directeur du service de police, Marc Brisson, qui a piloté les négociations souligne que « l’entente permet de rencontrer les objectifs des deux parties. Au bout du compte, la population y gagnera une offre bonifiée, notamment en matière de services de proximité et d’enquête. De plus, des liens encore plus étroits seront établis entre la communauté, le service de police et ses experts -le tout dans un esprit de communication ouverte et d’inclusion. » 

Le maire de Terrebonne, Mathieu Traversy, se réjouit quant à lui de cette étape importante dans les négociations et se dit confiant que l’entente de principe reçoive un accueil favorable. « J’avais donné le défi aux négociateurs d’explorer de nouvelles avenues afin de favoriser un climat de travail sain et constructif, de mobiliser les employés, d’améliorer l’efficience des opérations tout en respectant la capacité de payer de la Ville et de ses citoyens. »

Ce sont 220 policiers et policières qui sont concernés par cette nouvelle entente de principe. Les policiers et policières qui étaient sans contrat de travail depuis le 31 décembre 2018 se verront présenter les termes de l’entente de principe par leur instance syndicale lors d’une assemblée, le 11 octobre prochain. L’entente devra ensuite être entérinée par les membres du conseil municipal de la Ville en vue de la signature officielle de la nouvelle convention collective.  

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